Margaux Auria développe un travail plastique à mi-chemin entre la sculpture et l’installation. Flexible et mouvante, chaque pièce est au service d’une installation poétique.

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    cheminée, 2016
    1m de hauteur
    tour de briques de mousse découpées dans une plaque de revêtement, colle.

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    cocon, 2017
    env. 2 m de hauteur
    particules de calage en polystyrène, fil de fer.

Les matériaux pauvres et les objets de récupération dont elle s’empare sont au cœur de la fabrication de ses pièces. Souvent répétitifs et minutieux, ses gestes sont empruntés à ceux de l’ouvrier, de l’agriculteur, du pêcheur, ou encore du balayeur de rues. Émergent ainsi des formes qui appellent l’anonyme et le commun. Elles proposent aux spectateurs une vision et un récit de l’ordinaire, du travail, du précaire, de ce qui fait société et histoire, d’un absurde de l’existence.

Après l'obtention de son diplôme, Margaux Auria a oeuvré au sein du collectif valentinois "Autopos". Elle a par la suite poursuivi son travail en passant par Marseille, puis Paris où elle a intégré l’Atelier W pendant plus de deux ans. Elle a notamment été invitée à intervenir à la conférence « Création et réseaux Sociaux » à la Bibliothèque publique d’informations (Paris) en 2016, et, dernièrement, à participer à GIFC, à la galerie Agnès b. (Paris).

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    cité de la solitude, 2016
    dimensions variables
    cabanons en touillettes à café, traces de charbon, café moulu, craie.

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    grillage, 2018
    env. 200 x 130 cm
    filet en bolduc argenté, fil de fer, pavés de rue, sculpture/motte en argile et fragments de balai de balayeur.

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