“Son approche à l’image du corps est une symbolique et elle traduit ses expériences, souvenirs et rencontres avec les gens et des situations dans ses oeuvres sculpturales d’une façon sensible et puissante. Cette manière d’opérer les configurations de matière, couleur et forme sont une stratégie artistique avec des caractéristiques profondément espiègles, anarchiques et aussi provocatrices.” Sabine Gamper, 2017.

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    CV, 2019

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    conquistadora, 2019

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    Carbon Poulaines, 2018

Sabine Leclercq sculpte et dessine dans l’espace par le biais d’agrégats colorés et complexes qui s’érigent et s’étendent entre environnemental et échelle de son propre corps. L’acier, le plâtre, le scotch, les couleurs métalliques et le bitume constituent la base de son vocabulaire d’expression ouvert sur un champs des possibles par combinaison avec ses trouvailles et bribes d’expériences rapportées. Lorsque le corps vivant devient socle à ses assemblages, la photographie est utilisée pour questionner le portrait et l’archive. Le rapprochement entre le potentiel constructif et l’individu est au coeur de son travail.

Dès 2016, elle participe à la Youth Art Biennale (Fortezza, Italie), première édition d’une biennale sur la jeune création européenne. En 2017, elle expose en duo à la galerie Houg (Paris), ainsi qu’à la galerie Doris Ghetta (Ortisei, Italie) et à ArtVerona (Italie). Depuis 2018, elle a participé à plusieurs expositions collectives sur Lyon.
Prochainement, son travail sera montré à l’Aqueduc (Dardilly) en résonance à la biennale d’art contemporain de Lyon, et dans une exposition en collaboration avec une jeune chercheuse de l’université Lyon 3 lors d’une journée d’étude en janvier 2020.

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    ma petite entreprise under pressure, 2019

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    le placard était trop petit, 2019